Recherche partenaires techniques et financiers

Publié le par ACTION-DGDRE

RESUME

1. PAYS : Burkina Faso

 

2. TITRE DU PROJET : « LES ECOLES VERTES A L’EST" (EVE) du Burkina Faso

 

3. Nom de l’Organisme et Responsables du projet : ONG Action-DGDRE

 

Emmanuel YONI                                                           Mahamadou Bassirou TRAORE

03 BP 7004 Ouagadougou Burkina Faso                          Oulofobougou Bolibana, Rue 439

Email : noanlimpo@yahoo.fr                                          Porte 301 Bamako, Mali

Tél. :+ 226 70 72 17 99                                                E-mail: mbtraore@hotmail.fr

                                                                                  Tel:+223 78 23 53 73

 

4. Résumé du projet :

Dans le cadre de ses activités de promotion de l’agroforesterie et de l’Education relative à l’Environnement (ErE) dans la région de l’Est au Burkina Faso, en vue de contribuer à la sauvegarde de la diversité biologique de la zone en déperdition, l’ONG Action–DGDRE a prévue dans son programme d’activités 2010-2011, la mise en œuvre d’un vaste projet de plantation d’arbres et de construction de clôture en haies vives dans plusieurs écoles primaires en milieu rural.

Ce projet dénommé « les Ecoles Vertes à l’Est » (EVE) vise principalement à résoudre le problème de manque de clôture, qui concerne la quasi-totalité des écoles primaires en milieu rural et de même coup inciter à la promotion de l’ErE au Burkina à travers des actions concrètes et pratiques à l’endroit des élèves du primaire et leurs maîtres.

 Ainsi, le projet compte clôturer de haie-vives et planter plus de 1 500 arbres fruitiers à partir de plantes produites sur place, animer des formations sur les techniques de pépinières et d’agroforesteries au profit de 15 écoles primaires, reparties à travers les cinq provinces de la région de l’Est au Burkina Faso.

Ce projet fait suite à une opération pilote menée dans une école primaire de la province du Gourma dans le village de Balga, avec le soutien de l’ONG américaine Trees For The Future (TFTF).

A partir de cette expérience Action-DGDRE entend, en collaboration avec cette dernière et l’assistance technique d’une ONG du sud (Mali-Espoir, précédemment bénéficiaire des subvention de la Fondation Jean Paul II), la DREBA Est, les partenaires au développement et toute autre structure partageant notre vision, étendre cette action à toute la région Est du pays tout en perfectionnant cette première approche réalisée dans des conditions de moyens très limités.

Aux termes de cette opération, nous comptons verdir et sécurisé durablement  les écoles primaires en milieu rural et donner à ces milieux un paysage idéal, attractif et propice à l’apprentissage des élites du progrès économique et social du Burkina Faso.

 

5. MONTANT TOTAL DU PROJET : Vingt sept millions huit cent seize mille deux cent cinquante (27.816.250) Francs CFA

 

6. CO-PARTENAIRE : Trees For The Future

 

7. DATE PREVUE DE DEMARRAGE DU PROJET : Septembre  2010

 

8. DUREE : 18 mois

 

1       Brève présentation de l’ONG Action-DGDRE et ses partenaires

ONG de droit burkinabè  crée en juillet 2008, Action-DGDRE est forte d’un personnel composé principalement de volontaires, multidisciplinaires, oeuvrant dans l’environnement, l’aménagement, l’agronomie, les collectivités locales, l’enseignement et d’agents pastoraux.

Ses principaux domaines d’intervention sont la protection de l’environnement rural et urbain, l’aménagement du territoire, l’éducation, l’agriculture et l’élevage et la promotion du développement durable en agissant suivant les objectifs du millénaire pour le développement.

2       Description du projet

2.1    Contexte et justification du projet

2.1.1           Contexte

La région de l’Est compte 707 écoles selon les chiffres de la DREBA - Est pour l’année scolaire 2006-2007. La première étape de ce projet va concerner principalement la province du gourma et quelques écoles pilotes dans les quatre autres provinces de la région.

Il faut noter que des actions de plantation d’arbres, de mise en œuvre de jardins d’écoles ont été menés au paravent dans quelques écoles, avec le soutien de l’action gouvernementale et l’œuvre de certaines ONG (exemple Helen Keiler Int., dans la Komandjari).

Une particularité de notre action, c’est de valoriser ce potentiel là où il existe, de réhabiliter les opérations échouées pour manque de suivi ou de soutien et de créer lorsqu’il fait défaut. Mieux, notre intervention s’inscrit dans une action globale d’aménagement planifier du cadre de vie et de formation de la jeunesse et aussi dans une perspective de susciter l’auto-emploi dans l’avenir. En terme d’innovation, ce projet met l’accent sur la production in situ et par les bénéficiaires eux-mêmes, au lieu de  fournir des jeunes plantes comme il est de coutume.

Les facteurs favorables au projet, c’est qu’à présent la plupart des écoles disposent d’un forage, qui va permettre l’entretien des pépinières. Les ressources humaines pour l’exécution du projet sont les écoliers, leurs maîtres et les volontaires d’Action-DGDRE.

L’entretien des pépinières (matin et soir) ne peuvent pas perturber les activités scolaires et peuvent s’intègrent parfaitement au programme scolaire du moment.

2.1.2           La situation problème

La quasi-totalité des écoles primaires en milieu rural voire urbain dans la région de l’Est ne disposent pas de clôture, ce qui a pour conséquence :

-          la création de parchemins à travers les écoles par les populations dont la destination finale n’est pas l’école ;

-          un lieu de fréquentation pour les animaux en divagation (chiens, caprins, bovins, porcins, etc.) ;

-          l’accroissement d’agents perturbateurs (bruit lié aux passages des hommes et aux cris et mouvements d’animaux), les risques d’accidents, de morsures de chiens enragés et d’insécurité en général pour les écoliers ;

En outre, il manque souvent de l’ombrage pour permettre aux élèves d’y reposer en période chaude (mars à juin) et d’y apprendre plus confortablement leurs leçons ;

Mais, de façon générale, il faut noter que les superficies boisées au Burkina Faso sont en très nette régression depuis plusieurs années liée notamment :

-          à la croissance démographique qui accroît la consommation de bois de cuisson ;

-          au climat, aux poches de sécheresses récurrentes ;

-          à l’élevage extensif en nette progression (désormais pratiqué par la majorité des habitants ruraux) qui empêche le développement de jeunes pousses et limite le renouvellement arbustif et arboré ;

-          aux techniques culturales et à l'absence de meilleures pratiques de gestion durable des ressources ligneuses et des terres ;

2.2    Objectifs généraux et spécifiques du projet EVE

De façon générale le projet EVE vise à contribuer à la promotion de l’ErE et à améliorer le cadre paysager d’apprentissage à l’Est.

Et plus spécifiquement  il vise à :

-          améliorer la sécurité des écoliers dans la cours des écoles ;

-          améliorer le cadre paysager des écoles en milieu rural ;

-          à laide de la clôture en haie-vive, constituer un écran anti-bruit au niveau des écoles tant en milieu rural qu’en milieu urbain ;

-          appuyer la politique nationale de promotion de l’ErE à partir du primaire ;

-          atteindre ainsi les populations rurales en matière de sauvegarde de l’environnement (transmission aux parents, retour de certains écoliers à l’exploitation des terres, etc.) ;

-          réduire, à partir des arbres, les fortes chaleurs que subissent les écoliers pendants les périodes de canicules (mars à juin) et capables d’influencer les taux de réussite au primaire ;

-          inciter à la professionnalisation et au métier de pépiniéristes parmi les écoliers ;

2.3    Les bénéficiaires

Cette première phase du projet va concerner essentiellement les écoles en milieu rural (départements et villages) de la province du gourma et quelques écoles ciblées des quatre autres provinces (Gnagna, Tapoa, Kompienga et Komandjari) de la région.

Tableau 1  Nombre d’écoles par commune dans la province du gourma en 2006 – 2007

Commune

Nombre d’écoles

Nombre d’écoles concernées

Phase 1

Diabo

29

2

Diapangou

16

2

Fada N'Gourma

53

1

Matiacoali

31

2

Tibga

23

1

Yamba

12

2

Total Gourma

164

10


Tableau 2  Nombre d’écoles dans les quatre autres provinces de la Région

Province

Nombre d’écoles

Nombre d’écoles concernées

Gnagna 

239

1

Tapoa 

180

1

Komondjari 

72

1

Kompienga 

52

2

Total

543

5

2.4    Les moyens de mise en œuvre du projet

Pour atteindre les objectifs assignés à ce projet, des moyens humains, logistiques sont nécessaires pour sa mise en œuvre.

En termes de personnel, en plus des volontaires de l’ONG Action-DGDRE, il faudra disposer d’un personnel permanent (technicien et personnel d’appui), pour assurer les taches de bureau et la permanence sur le terrain.

Il est aussi nécessaire de disposer d’un moyen de déplacement tout terrain en bon état, pour l’accessibilité des villages, le plus souvent enclavés.

Tableau 3  Liste des moyens physiques et humains nécessaires

Equipements Bureau

Logistiques

Personnel

Un local de permanence

Motocycle tout terrain

Coordonnateur

Des tables à usage de bureau

Location véhicule tout terrain

Formateurs/Animateurs

Des outils didactiques

Location camion benne (transport de matériel pépinière et moellons)

Gestionnaire matériel et chargé des opérations

Un ordinateur complet

 

Consultants extérieurs*

Une imprimante

 

Secrétaire comptable*

Des consommables (papiers, encre, marqueurs, etc.)

 

Agent superviseur/encadreur*

Tableau 4  Liste des besoins en semences

Désignation

Unité

Quantités

 

Acacia (Acacia nilotica)

Kg

1500*15

 

Manguier (Mangifera indica)

Kg

50*15

 

Anacardier (anacardium occidentale)

Kg

30*15

 

Leucaena

Kg

10*15

 

Néré (Parkia biglobosa)

Kg

10*15

 

Moellons et/ou pierres granitiques

M3

200*15

 

Tableau 5  Liste des besoins en matériel pour pépinière et fosses fumières

Désignation

Grillages & Attaches

Brouettes

Arrosoirs

Pots plastique

Grille de protection individuelle

Lots de petits outillages (Sécateurs, pioches, pelles, râteaux, houes, etc.)

Quantités

100m*15

4*15

5*15

24.000

1.500 unités

2*15+3*15+3*15+2*15+5*15

2.5    Résultats attendus

-          15 écoles sécurisées par des clôtures vertes (haies vives) aux termes du projet ;

-          Chaque école bénéficiaire présente un paysage attractif ;

-          Plus de 3.000 écoliers sont initiés aux métiers de pépiniéristes et sont sensibilisés à l’agroforesterie et aux problèmes environnementaux spécifiques à leurs localités et au Burkina Faso en général (désertification, perte de couvert végétale, érosion des terres, stress hydriques, etc.) ;

-          Plus de 24.000 plantes sont produites, plantées et bien entretenues.

Par ailleurs, indirectement, ces action de sensibilisation et de formation va contribuer à :

-          Promouvoir de pratiques culturales respectueuses des principes du développement durable ;

-          Inciter les paysans à planter des arbres tout en tenant compte de leurs intérêts (fruitiers, haies anti-érosives et brises vents, haies pour clôture de vergers et parcs d’animaux, etc.) ;

-          A long terme, une source de diversification des modes de cultures et sources de revenus et accroître ainsi les capacités économiques et conditions de vie sociale des populations rurales et participer globalement à la réduction de la pauvreté et à l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire en milieu rural ;

-          Améliorer l’état général de l’environnement régional. 

3       Organisation du projet

3.1    Méthodologie et stratégie de mis en œuvre

Pour chaque école nous proposons un plan d’aménagement paysager général du site. Comprenant principalement une clôture en haie vive, des plantations en alignement et de façon dispersée dans la cours de l’école. Comme essences, nous comptons produire et planter des Manguiers (magifera indica), des  anacardiers (anacardium occidentale),  du Néré (Parkia biglobosa). 

Pour les haies vives nous utiliserons de l’acacia (acacia nilotica) et le Prosopice julifora.

D’autres parts nous prévoyons des aménagements de pistes d’accès en cordons pierreux, afin d’initier les enfants aux techniques de lutte anti-érosive et de fosses fumières pédagogiques et dont les produits serviront pour les jardins d’écoles et aux jeunes pantes.

Egalement des brise-vent pour assurer une meilleure productivité de plantes fruitières de ces écoles.

3.1.1           Stratégies d’action

-          donner les moyens : mettre en place des pépinières dans chaque école bénéficière, l’équiper et fournir les semences solliciter par les bénéficiaires ;

-          Prendre en compte des intérêts des bénéficiaires : les intervenants locaux (APE, AME, Maîtres, écoliers) choisissent eux-mêmes les espèces qu’ils souhaitent planter ;

-          Assistance : former les maîtres à l’encadrement des écoliers, superviser et assister techniquement la mise en œuvre sur le terrain ;

-          Participation : impliquer tous intervenants à l’école (APE, AME, élèves, maîtres, etc.) dès le début du projet ;

-          Sensibilisation : sensibiliser les bénéficiaires sur les problèmes environnementaux et cultiver l’esprit de protection de l’environnement au niveau scolaire ;

-           Transfert : les écoliers auront pour mission d’introduire les connaissances et pratiques acquises  dans leur domicile familial ;

-          Perspectives : après satisfaction des besoins de l’école en plantation, les futures productions de plantes sont vendues aux demandeurs locaux en vue de renforcer la caisse de l’APE-AME ;

3.1.2           Méthodologie

Les plantations se feront :

-          en alignement le long des pistes d’accès à l’école, l’aménagement de points singuliers en figures pédagogiques prévu par le programme scolaire ;

-          dans la cours et sur tout le périmètre appartenant aux écoles ;

-          en construisant des haies vives comme clôtures des écoles et jardins d’écoles avec aménagement de «  portail ouverte » afin d’empêcher l’accès aux animaux à la cours de l’école ;

-          assistance conseil ;

 

3.2    Responsable du projet

Le projet sera piloté par :

-          le directeur de chaque école ou un adjoint désigné par ce dernier ;

-          les élèves, les maîtres, les parents d’élève, la coordination et les animateurs de Action-DGDRE et les partenaires techniques et financiers.

Tableau 6  Principales activités et responsables d’exécution

Activités

Responsables d’exécution

1

Diagnostic et définition des besoins

Enseignants, APE, AME, Action-DGDRE, Elèves

2

Implantation des pépinières

APE, AME, Action-DGDRE

3

Fourniture des équipements pour pépinières et semences

Action-DGDRE et partenaires

4

Formation des enseignants

TFTF, animateurs Action-DGDRE, partenaires techniques

5

Encadrement élèves

Enseignants, Action-DGDRE

6

Plans d’aménagements, production, plantation, protection, entretien

Enseignants, APE, AME, Action-DGDRE, Elèves

7

Suivi et évaluation

Action-DGDRE et partenaires, enseignants, parents d’élèves

3.3    Instances de contrôle et supervision

Le contrôle et la supervision des actions seront assurées par entres autres :

-          les animateurs et coordonnateur de Action-DGDRE et partenaires techniques ;

-          mission de représentant de la Fondation Jean Paul II pour le Sahel et autres partenaires (TFTF, etc.).


Tableau 7  Principales activités et responsables du contrôle

Activités

Responsables du contrôle

1

Diagnostic et définition des besoins

Coordonnateur  Action-DGDRE, superviseur permanent, responsables d’écoles et élèves

2

Implantation des pépinières

Charge du matériel Action-DGDRE, superviseur permanent et partenaires

3

Fourniture des équipements pour pépinières et semences

Coordonnateur Action-DGDRE, représentants partenaires (TFTF, etc.)

4

Formation des enseignants

Coordonnateur Action-DGDRE

5

Encadrement élèves

Parents d’élèves, superviseur Action-DGDRE

6

Plans d’aménagements, production, plantation, protection, entretien

Maîtres, APE, AME, Action-DGDRE, Elèves

7

Suivi et évaluation

Action-DGDRE et partenaires

3.4    Calendrier d’intervention

Le calendrier d’intervention va s’aligner au calendrier scolaire au Burkina Faso (2010 – 2012).

-          Septembre – Décembre 2010, prise de contact avec les écoles, visite de sites, diagnostic, planification des activités (échange sur le projet, le calendrier d’intervention, préparation des sites, distribution des semences, formation préliminaire en pépinière et techniques d’agroforesteries, implantation des pépinières, etc.) ;

-          Février 2011, visite des sites préparés et pépinières, conduite d’actions de sensibilisations (techniques de plantations, entretien, etc.) ;

-          Mi – juillet 2011, assistance à la mise en œuvre (plantation) ;

-          Septembre 2011-mars 2012, visite de contrôle et de supervision des actions (conseils pour l’entretien de plantes en fin de saison pluvieuse, travaux de perfectionnement, évaluation) ;

Figure 1          Planning d’intervention

 

Désignation des actions

2010-2011

2011-2012

Semestre 1

Semestre 2

Semestre 1

1. Identifier, prendre contact et évaluer les besoins, les potentialités et facteurs limitant (risques) des bénéficiaires

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Atteinte objectif 1

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2. Fournir le matériel nécessaire et implanter les

pépinières

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Atteinte objectif 2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

3. Former les enseignants

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Atteinte objectif 3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

4. Fournir les semences

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Atteinte objectif 4

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

5. Produire et planter les haie-vives et autres plantations désirées ;

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Atteinte objectif 5

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

6. Réaliser des aménagements (alignement de cordons pierreux, plantation de figures géométriques, etc.)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Atteinte objectif 6

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

7. Suivi et supervision des activités

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Atteinte objectif 7

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elaboration des rapports de projet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

.- rapport périodique

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

.- rapport final d’exécution

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

4       Suivi et évaluation

Le suivi évaluation se traduira par :

-          L’évaluer des actions, la production de rapports d’activités trimestriels, l’organisation de visites régulières sur les écoles où le projet est implanté ;

-          La formation continue des enseignants pour parer aux éventuelles affectations des maîtres ;

-          La vérification et l’assurance du bon déroulement du projet et en particulier des activités prévues dans l'échéancier ;

-          L’analyse les difficultés rencontrées et procéder à des réorientations éventuelles ;

-          L’établissement d’un bilan sur les approches et les méthodes utilisées dans la mise en place du projet ;

-          La transmission aux partenaires données pour leurs permettre d’évaluer et de mieux connaître le déroulement du projet et les conditions d’utilisation des finances ;

-          Des rapports d’activités indiquant les résultats concrets obtenus par le projet et ses conséquences sociales et environnementales, qui seront transmis régulièrement aux partenaires en début de chaque trimestre;

-          Des rapports d'activités intermédiaires (rapports de suivi et rapports financiers) semestriels, qui garantissent la transparence dans la gestion administrative et financière du projet.

5       Perspectives et risques du projet

-          Durabilité et pérennisation des actions engagées :

L’autonomie technique et financière du projet à terme sont garantie par le renforcement des capacités des élèves à produire, à récolter eux-mêmes les semences, à vendre le surplus de production de plantes, etc.).

-          Transfert de compétences aux bénéficiaires :

La formation permanente des maîtres (tous les 6 mois) et le maintien des équipements, est une gage de compétences techniques, de capacités organisationnelles pour la gestion pérenne du projet et sa duplication à travers d’autres écoles.

-          Minimiser l'incidence des risques de blocages administratifs, conflits locaux :

L’exécution du projet cadre avec le calendrier scolaire et s’intègre bien avec la politique actuelle du gouvernement burkinabè à promouvoir l’éducation environnementale à l’école.



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